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Vaccination contre le Papillomavirus (HPV) : Rétablissons la vérité

Beaucoup de mensonges sur ce vaccin (Gardasil®) sont sans cesse proférés par nos autorités sanitaires sous l’influence de soi-disant experts ou leaders d’opinions dont l’indépendance est pour le moins douteuse.

1er mensonge : « C’est un vaccin contre le cancer du col de l’utérus »

Or il s’agit d’un vaccin dirigé contre deux membres d’une famille de virus qui peuvent être associés, dans de rares cas, au cancer du col de l’utérus.

Dans cette famille de virus on dénombre plus de 150 membres dont une bonne vingtaine peut être associée au cancer. Les souches 16 et 18 sont associées à près de 70% des cancers, mais ses deux souches ne représentent, dans les pays industrialisés que 2.3% des infections par le HPV¹.

2e mensonge : «Le cancer du col de l’utérus est le 2e cancer le plus fréquent chez la femme »

Or en Suisse, il se situe en 15e place et est en constante diminution, déjà bien avant l’introduction de la vaccination.

Selon le Registre suisse des tumeurs, en 20 ans, la fréquence des cancers du col de l’utérus est passée de 397 cas à 240 cas par an².

Selon les statistiques du canton de Vaud, l’incidence de ce cancer est passée de 13.1 à 4.1 pour 100'000 femmes en trente ans, soit une baisse de près de 70%.

Ce n’est que la 21e cause de mortalité par cancer chez la femme en Suisse.

Selon le Registre suisse des tumeurs, en 20 ans, la mortalité des cancers du col de l’utérus est passée de 178 cas à 85 cas par an³.

3e mensonge : « Ce vaccin est d’une efficacité remarquable »

Or aucune étude n’est en mesure de mesurer l’efficacité de ce vaccin sur la prévention des cancers du col et ceci pour la bonne raison qu’il faut un recul de 15 à 20 ans, laps de temps nécessaire pour qu’une infection par le papillomavirus évolue, dans de rares cas, vers un cancer.

4e mensonge : « Ce vaccin a démontré une grande efficacité contre les lésions précancéreuses de stade 2 et 3»

C’est vrai pour les lésions précancéreuses associées aux souches virales 16 et 18 contenues dans le vaccin. Mais si on regarde les chiffres globaux de l’ensemble des lésions précancéreuses, indépendamment de la souche virale, il n’y a aucune diminution des lésions précancéreuses. Ce chiffre global est la seule valeur pertinente pour juger d’un éventuel bénéfice du vaccin.

5e mensonge : « Ce vaccin est sûr »

On peut lire dans la monographie du Gardasil® publiée par Merck que « dans les études cliniques, Gardasil® a été généralement bien toléré comparativement au placebo». Cette affirmation est pour le moins surprenante quand on sait que dans l’histoire des vaccinations, il n’y a jamais eu d’études vaccin versus placebo, alors que de telles étudessont obligatoires pour tout médicament souhaitant obtenir une AMM (Autorisation de mise sur le marché).

Par définition, un placebo doit être une substance neutre sans principe actif, ne comportant que des composants chimiques neutres. Or le soi-disant placebo utilisé contient de l’aluminium, du borax…, soit l’entier de l’adjuvant !

Aux Etats-Unis, le VEARS(Vaccine Adverse Event Reporting System) dénombrait (début novembre) plus de 30'000 effets secondaires déclarés (principalement des troubles cardiaques, des troubles du système nerveux et des troubles vasculaires)

Des craintes se font jour sur la possibilité d’une altération de la fertilité. Quelques cas, encore rares, d’insuffisance ovarienne ont été décrits (avec pour conséquence une stérilité). Ces cas ont été publiés notamment dans le Journal américain d’immunologie et de la reproduction. La fréquence de ces cas peut être masquée par le fait que les jeunes filles vaccinées sont souvent sous contraception. C’est d’autant plus préoccupant que le Gardasil® contient un adjuvant appelé borax (ou borate de sodium) classé en 2008 par la réglementation européenne comme toxique avec les indications suivantes :

R60 (peut altérer la fertilité)

R61 (risque pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant)

En conclusion

-        Il n’existe aucune donnée sur une éventuelle efficacité du Gardasil®sur la prévention de cancer du col de l’utérus.

-        Les données actuelles démontrent une absence d’efficacité dans la réduction du nombre total des lésions précancéreuses.

-        De nombreux effets secondaires, potentiellement graves, ont été décrits dans la pharmacovigilance.

-        Ce vaccin est donc non seulement inutile, mais éthiquement non défendable, ce d’autant que, selon le docteur Véronique Chabernaud, oncologue et ancien cadre dirigeant d'un grand groupe pharmaceutique, si toutes les femmes suivaient les recommandations d’un dépistage par frottis tous les trois ans entre 25 et 65 ans, 90% des cas de cancer du col de l’utérus serait évité.

Groupe médical de réflexion sur les vaccins

Décembre 2013

  1. JAMA.2007; 297: 876-878
  2. http://www.unige.ch/medecine/rgt/Donneessuisses/Swiss_statistics_Cancer_Incidence_1984-2008.pdf
  3. http://www.unige.ch/medecine/rgt/Donneessuisses/Swiss_statistics_Cancer_Mortality_1985-2009.pdf
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23902317