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Nos autorités sanitaires cantonales interdisent dorénavant à tout médecin d’émettre un avis qui pourrait entretenir le doute sur la vaccination contre le Covid, sous peine de sanctions (CHF 20'000.- d’amende, voire retrait du droit de pratique).

Nous, collectif de médecins, prenons acte avec inquiétude mais restons fidèles à notre but, fournir une information critique, nuancée et indépendante à propos des vaccins.

Nous constatons cependant avec regret que depuis le début de la pandémie, toute critique ou mise en doute scientifique de la stratégie vaccinale soit systématiquement cataloguée comme complotisme, voire censurée.

Or nous rappelons que :

  • La loi suisse ne comprend à ce jour aucune obligation vaccinale. Pourtant la vaccination est rendue pratiquement incontournable par l’imposition du « pass sanitaire ».
  • Il peut paraître imprudent de vacciner l’ensemble d’une population avec un produit nouveau qui est encore en phase 3 d’essai clinique (phase dont l’objectif est de mesurer son efficacité et sa sécurité).
  • Les hospitalisés des soins intensifs sont aujourd'hui certes majoritairement des non-vaccinés mais on ne sait rien de leurs pathologies concomitantes (ne serait-ce que le tabagisme).
  • Le nombre quotidien de nouveaux « cas positifs » ne correspond pas à une explosion des cas de maladie mais à une multiplication de tests effectués chez des personnes en bonne santé. Par ailleurs l’encombrement des soins intensifs annoncé n’est pas confirmée selon les informations dont nous disposons (début septembre 2021).
  • Que la propagande en faveur de la vaccination passe sous silence que du 1er janvier au 3 septembre 2021, Swissmedic a enregistré 6'603 cas d'effets indésirables dont 32,7% (2'161 cas) considérés comme graves.

137 personnes vaccinées sont décédées après un laps de temps relativement court. "Malgré la concordance temporelle, rien n’indique concrètement que le vaccin est à l’origine du décès." précise Swissmedic.

  • Que chez les enfants et les adolescents la maladie est bénigne, ne justifiant pas une vaccination dont les risques dépassent ceux de la maladie.
  • Il est certain qu'en l'absence de situation pandémique, la vaccination aurait été stoppée depuis longtemps.

Force est de constater que nous sommes entrés dans une période où nos libertés fondamentales, et en particulier notre liberté d’expression, sont sévèrement réprimées. En politique, cela s’appelle une dictature ; en sciences, une position dogmatique.

Nous ne doutons pas que vous parviendrez tout de même à vous forger une opinion libre et éclairée.

La maladie

L'épidémie est comparable à celle d'une grippe à la différence que les symptômes sont imprévisibles et très variables. Des complications peuvent survenir chez des personnes fragiles, âgées et le plus souvent déjà menacées dans leur santé. En cas de décès, le virus n'en est alors que rarement la cause principale.

Le fait que la médecine officielle affirme qu’il n’y a aucun traitement efficace, ni aucun moyen de prévention en dehors d’une vaccination généralisée ne facilite pas le choix.

La hâte à commercialiser un vaccin relève d’une course contre la montre entre les laboratoires que ne justifie pas la gravité toute relative de cette épidémie.

Les vaccins

À ce jour, deux à trois vaccins sont commercialisés en Suisse, mais une trentaine d’autres sont annoncés pour un proche avenir, et plus d’une centaine de laboratoires continuent à mener des recherches.

Demeurent les incertitudes : l'efficacité et la durée de la protection, l'action sur la transmission du virus et contre ses variants, enfin, les éventuelles conséquences du vaccin pratiqué chez les malades guéris du covid-19. Introduits dans la précipitation, le recul sur ce nouveau type de vaccins est largement insuffisant pour juger de leur innocuité sur la durée.
D'ailleurs, leur application ne supprime pas les "gestes barrières".

Cependant il semble bien que le problème ne serait pas tant le virus que les mesures disproportionnées prises pour juguler cette épidémie, et on peut se demander si ces vaccins totalement nouveaux et fabriqués à la hâte devaient vraiment être généralisés avant d’avoir plus de recul. Ils restent cependant facultatifs, mais gageons que la durée et l'ampleur des contraintes imposées aux non-vaccinés convaincront les indécis, malheureusement.

Quant au "passeport covid", quels critères juridiques et médicaux le détermineront reste encore imprécis.

 

Que faire en attendant

Outre une bonne hygiène de vie et le recours aux médecines complémentaires, signalons l'existence de mesures simples et efficaces pour éviter la maladie ou améliorer son pronostic : la prise de vitamine D (max. 1'000 unités par jour), de vitamine C (deux fois 500 mg par jour), de dérivés de l'échinacée et de complexes contenant du zinc (20 à 50 mg par jour). L'Ivermectine, un médicament antiparasitaire, est réputé être efficace aussi bien en prévention qu’en traitement.

Ces mesures accessibles et bon marché semblent ignorées des milieux officiels.

(Situation au mois de mai 2021)

 

Chef du service des Maladies infectieuses et tropicales de l’Hôpital de Garches - FRANCE    Texte complet ICI

« …les premiers « vaccins » qu’on nous propose ne sont pas des vaccins, mais des produits de thérapie génique. On va injecter des acides nucléiques qui provoqueront la fabrication d’éléments du virus par nos propres cellules. On ne connait absolument pas les conséquences de cette injection, car c’est une première chez l’homme ».

« …ainsi un ARN étranger à notre corps et administré par injection pourrait coder pour de l’ADN, tout aussi étranger, qui peut alors s’intégrer dans nos chromosomes. Il existe donc un risque réel de transformer nos gènes définitivement. Il y a aussi la possibilité, par la modification des acides nucléiques de nos ovules ou spermatozoïdes, de transmettre ces modifications génétiques à nos enfants ».

« Les personnes qui font la promotion de ces thérapies géniques, faussement appelées « vaccins » sont des apprentis sorciers et prennent les Français et plus généralement les citoyens du monde, pour des cobayes ».

« Je suis d’autant plus horrifié que j’ai toujours été en faveur des vaccins et que j’ai présidé pendant des années des instances élaborant la politique vaccinale. Aujourd’hui, il faut dire stop à ce plan extrêmement inquiétant. Louis Pasteur doit se retourner dans sa tombe.

La science, l’éthique médicale et par-dessus tout le bon sens doivent reprendre le dessus ».

(Résumé tiré d’une publication du Dr Christian Vélot, généticien moléculaire à l’Université de Paris Sud - Orsay et Président du Conseil scientifique du CRIIGEN)

Pour lire l’intégralité de la publication du Dr Christian Vélot, cliquez ICI

Sur les 38 candidats vaccins faisant l’objet d’essais cliniques (de phase I, II ou III), 18 ont recours aux technologies OGM qui consiste à introduire du matériel génétique viral (ARN pour les vaccins Moderna et Pfizer) dans les cellules de la personne à vacciner.

À ce jour, aucun vaccin à ARN n’a encore été mis sur le marché et les risques liés à cette nouvelle technologie (listés ci-dessous) ne sont pour l’heure que théoriques, mais basés sur des cohérences scientifiques.

  • Risque de recombinaison virale

Les virus ont une grande capacité à échanger des fragments de leur matériel génétique respectif dès lors qu’ils partagent des séquences (gènes) qui se ressemblent. Ce phénomène ne peut se produire que si du matériel génétique provenant d’au moins deux virus se retrouve dans les mêmes cellules, ce qui est fort heureusement extrêmement rare dans la nature puisque cela implique que des mêmes cellules soient co-infectées par au moins deux virus. Mais sous l’effet de la main de l’homme, ce phénomène peut devenir beaucoup plus courant. C’est le risque que l’on fait courir chez les humains dès lors que l’on génère des vaccins délivrant dans les cellules des patients de l’ARN ou de l’ADN viral.

La vaccination contre le Covid-19, si elle devient réalité, sera une vaccination de masse à travers le monde entier. La probabilité que ce genre d’évènements survienne est donc loin d’être nulle même si elle reste sans doute faible en termes de fréquence. Une telle vaccination de masse avec ce type de vaccins pourrait devenir une fabrique à grande échelle de nouveaux virus recombinants. N’oublions pas qu’il suffit qu’un seul nouveau virus apparaisse quelque part dans le monde pour que les conséquences sanitaires, environnementales, sociales, soient mondiales et colossales...

  • Risque de génotoxicité (mutagenèse insertionnelle)

La mutagenèse insertionnelle est une mutation (modification de l’information génétique) par insertion d’une séquence à l’intérieur d’un génome, cette insertion pouvant alors inactiver ou modifier l’expression d’un ou plusieurs gène(s).

  • Risque d’immunotoxicité

Les vecteurs viraux étant eux-mêmes immunogènes, ils peuvent engendrer d’importants effets d’immunotoxicité.

Conclusion

Ces candidats vaccins nécessitent une évaluation sanitaire et environnementale approfondie incompatible avec l’urgence, qu’il s’agisse de celle résultant de la pression des autorités décisionnelles et sanitaires ou celle des profits des industries pharmaceutiques embarquées dans cette course au vaccin.

Ajoutons que les laboratoires sont tellement conscients de ces risques potentiels qu’ils ont réussi à se faire délier de toute responsabilité en cas de problème. Les contrats d’achats stipulent que ce sont les Etats acheteurs qui prendront en charge les risques et les éventuelles indemnités.

Dans un site consacré aux vaccins, il n’est pas possible de passer sous silence ce vaccin qui n’existe pas mais dans lequel la population mondiale met tout son espoir.

Les coronavirus sont des habitués des êtres humains. Quatre d’entre eux sont considérés comme sans gravité. Ils seraient la cause de 15 à 30 % des rhumes courants.

Récemment ont été identifiés trois types de coronavirus responsables de graves pneumopathies :

Le SARS-CoV, dont l’épidémie 2002-2004 a déclenché une alerte mondiale de l'OMS. SARS signifie Syndrome Respiratoire Aigu Sévère. Apparue en Chine la maladie a fait 774 morts Elle est considérée comme éradiquée depuis 2004.

Le MERS-CoV, celui du syndrome respiratoire du Moyen-Orient apparu en Arabie saoudite en 2012. 449 victimes seulement du fait du faible nombre d'individus atteints. Cette maladie, qui semble liée à la proximité avec les chameaux existe toujours.

Le SARS-CoV-2 ou Covid-19, apparu en Chine en 2019, il est responsable de la pandémie actuelle.

La panique collective engendrée par l’extrême dramatisation de cette infection sera difficile à surmonter, le sentiment d’urgence permettra de commercialiser un vaccin en étant dispensé des longues procédures de sécurité et d’efficacité habituelles. Comme ce fut le cas pour le vaccin contre le papillomavirus : sous prétexte qu’il s’agissait d’un vaccin anticancéreux, la peur du cancer permettant d’échapper aux procédures de rigueur.

De même le prix sera sans doute à la hauteur de l’inquiétude populaire, et l’adhésion à la vaccination sera probablement massive sans campagne publicitaire supplémentaire. Si l’ambiance actuelle se prolonge l’obligation pourrait même être exigée par une partie de la population. 

Voici donc un marché prometteur, et c’est sans doute pourquoi 130 vaccins sont actuellement dans les éprouvettes dont une dizaine est en phase d’essais cliniques chez des êtres humains.

Cependant on peut prévoir certains obstacles techniques car les coronavirus sont des virus instables prêts à muter, comme le virus influenza de la grippe classique dont le vaccin est toujours en retard d’une année et doit être modifié à l’occasion de chaque mutation. Les tentatives de faire un vaccin contre le SARS de 2002 ont échoué.

Enfin des vaccins contre le Covid19 expérimentés chez des animaux ont montré un phénomène de facilitation, ce qui veut dire que les individus vaccinés sont plus facilement ou plus gravement infectés que les non-vaccinés, comme ce fut le cas pour le nouveau vaccin Sanofi de la dengue qui a dû être retiré pour avoir provoqué en 2019 des cas de dengue mortels.

Rappelons que la grippe ordinaire tuerait annuellement en moyenne 600'000 personnes dans le monde. L’âge avancé des victimes fait que cette affection ne réduit pratiquement pas leur espérance de vie et qu’elle n’est pas considérée comme un problème de santé majeur. Au 10 mai le covid-19 avait tué 280'000 personnes appartenant majoritairement au même groupe d’âge. On peut légitimement se demander pourquoi cette mortalité, relativement modérée a-t-elle donné lieu à des mesures sanitaires coercitives d’une telle ampleur.

Rougeole : mise au point

28 avril 2019

Suite au battage médiatique de ces derniers mois, concernant cette maladie, il nous paraît important de rétablir les faits dans leur juste proportion.

La recrudescence actuelle des cas de rougeole est une nouvelle occasion de stigmatiser les personnes non-vaccinées jugées responsables de ces « mini » épidémies par les autorités sanitaires, relayées par une presse complaisante. Leur argument étant qu’il faudrait atteindre un taux de vaccination de 95 % pour éliminer cette maladie.

Malheureusement, les faits contredisent cette assertion.

En Chine, le vaccin contre la rougeole est obligatoire et pourtant ce pays a connu plus de 700 épidémies de rougeole entre 2009 et 2012.

« La couverture vaccinale déclarée contre la rougeole et la rubéole (RR) ou contre la rougeole-oreillons-rubéole (ROR) dépasse les 99% dans la province de Zhejiang. Cependant, l’incidence de la rougeole, des oreillons et de la rubéole y reste élevée. »

(PLoS One. 2014 ;9(2) : e89361)

Au Portugal, la couverture vaccinale pour la rougeole se situe entre 95% et 99%. Ceci n’a pas empêché la réémergence de cette maladie. Entre le 11 février et le 22 avril 2018, 211 cas ont été notifiés à Porto. Parmi les 96 cas formellement confirmés :

   - 99% étaient des adultes de plus de 18 ans

   - 70% étaient entièrement vaccinés (deux doses ou plus)

   - seuls 5% n’étaient pas vaccinés

(Eurosurveillance Volume 23, Issue20, 17/May/2018) 

(The Lancet Volume 18, ISSUE10, P1060-1061, October 01, 2018)

Ces exemples motivent trois remarques :

  1. La rougeole, maladie épidémique séculaire de l’enfance, est devenue une maladie de l’adulte chez qui le risque de complications est plus élevé. Conséquence directe et prévisible de la vaccination systématique déjà évoqué en 1987.
  1. Autre conséquence vraisemblable de la vaccination : la sélection de souches moins sensibles au vaccin et potentiellement plus contagieuses et plus sévères.

L’efficacité initiale du vaccin a certes permis une régression de la fréquence de cette maladie, mais l’on voit apparaître ces dernières années un nombre croissant de cas touchant des personnes pourtant vaccinées selon les recommandations.

Cela interpelle la communauté médicale.

"Nous sommes confrontés à des épidémies de rougeole et à des flambées qui touchent les personnes immunisées et dans lesquelles les souches B3 et D8 sont impliquées."

(The Lancet Volume 18, ISSUE10, P1060-1061, October 01, 2018)

  1. En Suisse, la mortalité liée à la rougeole a disparu avant que l’on commence à vacciner systématiquement tous les enfants. Cette vaccination, si elle a bien eu un effet sur la fréquence de cette maladie, elle n’a, par contre, eu aucun impact sur sa mortalité.

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Michel Georget

 

C’est avec tristesse que nous avons appris le décès du biologiste Michel Georget dont le travail de recherche sur les incertitudes scientifiques à propos des vaccinations fait référence.

Le Groupe médical de réflexion sur les vaccins lui doit beaucoup pour son inlassable travail de vulgarisation et de critique rigoureuse à ce propos.

Il a exposé son travail dans deux livres : "Vaccinations: les vérités indésirables" (réédition Dangles 2017) et "L'apport des vaccinations à la santé publique: la réalité derrière le mythe" (éditions Dangles 2014). Ces deux ouvrages n'ont cessé de nous inspirer dans nos réflexions.

Michel Georget a également donné d’innombrables conférences publiques dans le monde francophone dont deux tournées en Suisse romande à l'invitation du Groupe. Il a encore signé l'année passée la préface de la réédition de notre opuscule "Qui aime bien vaccine peu" aux éditions Jouvence.

Ses écrits restent une référence sur laquelle nous pouvons compter.

 

Emission 36.9° intitulée : « Vaccins : pourquoi font-ils peur ? » RTS 1 Mercredi 6 septembre 2018

Nous avons été sollicités pour participer à cette émission qui devait ouvrir un débat en présentant les arguments des vaccino-sceptiques face aux arguments des autorités officielles.
Une fois de plus, nous avons été honteusement trompés puisque l’émission s’est révélée être un hymne à la gloire des vaccins, à l’origine de millions de vies sauvées, et une stigmatisation des vaccino-sceptiques, des illuminés, égoïstes qui jouent sur les peurs.
Cette émission aurait pu n’être que du journalisme partisan déclarant vouloir faire un reportage montrant les bénéfices des vaccins et les inepties des vaccino-sceptiques. C’eut été un choix rédactionnel, critiquable certes, mais clairement annoncé.
Mais nous avons été victimes d’un journalisme malhonnête dont les intentions réelles nous ont été volontairement cachées.

Qui aime bien, vaccine peu !

Qui aime bien vaccine peu  

Nouvelle édition revue et augmentée

Cette réédition 2018 contient de nombreuses mises à jour, de nouveaux chapitres (Autisme et vaccinations / Vaccins et grossesse / Zona / Dengue / Paludisme) et quelques références.

 
 

L’ouvrage référence du biologiste Michel Georget a été réactualisé dans cette nouvelle édition.

Ce livre sur les vaccinations est d’un intérêt indéniable pour les professionnels de la santé souhaitant une information critique, rigoureuse, basée sur des références scientifiques.

Mais il est également abordable pour le grand public s’interrogeant sur les réels bénéfices et risques des vaccins dans une période difficile où le libre choix basé sur un consentement éclairé est bafoué dans bien des pays.

Vaccination vérités indésirable

 

Toxic Story 

« Deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins »

Ed. Actes Sud (collection : Questions de Société) 256 p.

Date de parution : 12/10/2016

Le Professeur Romain Gherardi, chef de service du Centre expert en pathologie neuromusculaire de l’hôpital Henri-Mondor (Créteil) nous relate, dans ce passionnant ouvrage, les étapes de sa découverte : le rôle de l’adjuvant aluminique des vaccins dans une pathologie, jusque-là encore mystérieuse, le syndrome de fatigue chronique (ou encéphalomyélite myalgique) dont les symptômes sont liés à une lésion nommée myofasciite à macrophages.

LToxic Storye cheminement de cette découverte majeure n’a pas été un long fleuve tranquille. Dès l’évocation de l’origine vaccinale des particules d’aluminium présentes dans cette lésion, des obstacles inattendus se sont dressés sur son chemin. Articles scientifiques refusés. Financements retirés. Réunions de dupes.

Ce livre nous dévoile comment décideurs politiques, médecins « experts », institutions sanitaires sont gangrénés par la puissante industrie pharmaceutique qui cherche à faire taire toute recherche n’allant pas dans son intérêt.

Cas de diphtérie en Espagne : Quelques réflexions

Sans doute n’avez-vous pas échappé à la nouvelle d’un cas dramatique de diphtérie en Espagne. La presse en a fait de gros titres et a abondamment relayé le discours simpliste : « malade car non vacciné ».

Voici un excellent article du site « Initiative Citoyenne » qui nous montre qu’en vérité tout n’est pas aussi simple.

CLIQUEZ ----> ICI

Vaccination contre le Papillomavirus (HPV) : Rétablissons la vérité

Beaucoup de mensonges sur ce vaccin (Gardasil®) sont sans cesse proférés par nos autorités sanitaires sous l’influence de soi-disant experts ou leaders d’opinions dont l’indépendance est pour le moins douteuse.

1er mensonge : « C’est un vaccin contre le cancer du col de l’utérus »

Or il s’agit d’un vaccin dirigé contre deux membres d’une famille de virus qui peuvent être associés, dans de rares cas, au cancer du col de l’utérus.

Dans cette famille de virus on dénombre plus de 150 membres dont une bonne vingtaine peut être associée au cancer. Les souches 16 et 18 sont associées à près de 70% des cancers, mais ses deux souches ne représentent, dans les pays industrialisés que 2.3% des infections par le HPV¹.

2e mensonge : «Le cancer du col de l’utérus est le 2e cancer le plus fréquent chez la femme »

Or en Suisse, il se situe en 15e place et est en constante diminution, déjà bien avant l’introduction de la vaccination.

Selon le Registre suisse des tumeurs, en 20 ans, la fréquence des cancers du col de l’utérus est passée de 397 cas à 240 cas par an².

Selon les statistiques du canton de Vaud, l’incidence de ce cancer est passée de 13.1 à 4.1 pour 100'000 femmes en trente ans, soit une baisse de près de 70%.

Ce n’est que la 21e cause de mortalité par cancer chez la femme en Suisse.

Selon le Registre suisse des tumeurs, en 20 ans, la mortalité des cancers du col de l’utérus est passée de 178 cas à 85 cas par an³.

3e mensonge : « Ce vaccin est d’une efficacité remarquable »

Or aucune étude n’est en mesure de mesurer l’efficacité de ce vaccin sur la prévention des cancers du col et ceci pour la bonne raison qu’il faut un recul de 15 à 20 ans, laps de temps nécessaire pour qu’une infection par le papillomavirus évolue, dans de rares cas, vers un cancer.

4e mensonge : « Ce vaccin a démontré une grande efficacité contre les lésions précancéreuses de stade 2 et 3»

C’est vrai pour les lésions précancéreuses associées aux souches virales 16 et 18 contenues dans le vaccin. Mais si on regarde les chiffres globaux de l’ensemble des lésions précancéreuses, indépendamment de la souche virale, il n’y a aucune diminution des lésions précancéreuses. Ce chiffre global est la seule valeur pertinente pour juger d’un éventuel bénéfice du vaccin.

5e mensonge : « Ce vaccin est sûr »

On peut lire dans la monographie du Gardasil® publiée par Merck que « dans les études cliniques, Gardasil® a été généralement bien toléré comparativement au placebo». Cette affirmation est pour le moins surprenante quand on sait que dans l’histoire des vaccinations, il n’y a jamais eu d’études vaccin versus placebo, alors que de telles étudessont obligatoires pour tout médicament souhaitant obtenir une AMM (Autorisation de mise sur le marché).

Par définition, un placebo doit être une substance neutre sans principe actif, ne comportant que des composants chimiques neutres. Or le soi-disant placebo utilisé contient de l’aluminium, du borax…, soit l’entier de l’adjuvant !

Aux Etats-Unis, le VEARS(Vaccine Adverse Event Reporting System) dénombrait (début novembre) plus de 30'000 effets secondaires déclarés (principalement des troubles cardiaques, des troubles du système nerveux et des troubles vasculaires)

Des craintes se font jour sur la possibilité d’une altération de la fertilité. Quelques cas, encore rares, d’insuffisance ovarienne ont été décrits (avec pour conséquence une stérilité). Ces cas ont été publiés notamment dans le Journal américain d’immunologie et de la reproduction. La fréquence de ces cas peut être masquée par le fait que les jeunes filles vaccinées sont souvent sous contraception. C’est d’autant plus préoccupant que le Gardasil® contient un adjuvant appelé borax (ou borate de sodium) classé en 2008 par la réglementation européenne comme toxique avec les indications suivantes :

R60 (peut altérer la fertilité)

R61 (risque pendant la grossesse d'effets néfastes pour l'enfant)

En conclusion

-        Il n’existe aucune donnée sur une éventuelle efficacité du Gardasil®sur la prévention de cancer du col de l’utérus.

-        Les données actuelles démontrent une absence d’efficacité dans la réduction du nombre total des lésions précancéreuses.

-        De nombreux effets secondaires, potentiellement graves, ont été décrits dans la pharmacovigilance.

-        Ce vaccin est donc non seulement inutile, mais éthiquement non défendable, ce d’autant que, selon le docteur Véronique Chabernaud, oncologue et ancien cadre dirigeant d'un grand groupe pharmaceutique, si toutes les femmes suivaient les recommandations d’un dépistage par frottis tous les trois ans entre 25 et 65 ans, 90% des cas de cancer du col de l’utérus serait évité.

Groupe médical de réflexion sur les vaccins

Décembre 2013

  1. JAMA.2007; 297: 876-878
  2. http://www.unige.ch/medecine/rgt/Donneessuisses/Swiss_statistics_Cancer_Incidence_1984-2008.pdf
  3. http://www.unige.ch/medecine/rgt/Donneessuisses/Swiss_statistics_Cancer_Mortality_1985-2009.pdf
  4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23902317

Loi fédérale du 28 septembre 2012 sur les épidémies (LEp) :
Une menace sur le libre choix en matière de vaccination 
Dans cette nouvelle loi sur les épidémies adoptée par les Chambres le 28 septembre, les articles 6, 7, 21 et 22 sont une réelle menace pour la liberté de vaccination. La Confédération pourra édicter des obligations de vaccination pour l’ensemble de la population ou des groupes de personnes (professionnels de la santé, enfants…). La seule notion de « risque élevé d’infection et de propagation » (art. 6 a. 1.) pourrait permettre la mise en application de cette loi. Or toutes maladies infectieuses (rougeole, grippe…) remplissent cette condition. Pour garantir un libre choix en matière de vaccination, un référendum a permis de récolter 77'750 signatures. Le peuple aura donc l’occasion de se prononcer sur ce texte dans le courant de cette année 2013.

« L’apport des vaccinations à la santé publique – La réalité derrière le mythe »

Ed. Dangles

Après nous avoir révélés les « Vérités indésirables » des vaccinations, Michel Georget, agrégé de biologie, nous propose un nouveau livre qui écorne le mythe du bienfait des vaccins sur la santé publique.

image002   Avec de nombreux exemples bien documentés, il nous démontre que le rôle majeur attribué aux vaccinations dans la régression des maladies infectieuses est contestable.
  Cet ouvrage aborde ces questions dans un langage simple, accessible au grand public, mais intéressera également un public plus averti qui y trouvera de nombreuses références scientifiques.